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    Antennes

     

     

    Les doigts tendus vers le ciel

    Yeux bouche narines oreilles cœur et pores de la peau écarquillés

    Ouverts à Ta Lumière

    À Ton Immensité

     

    Nous aspirons nous nous abreuvons nous nous nourrissons

    De Ta Parole

    De Ta Beauté

       De Ton Silence

     

    Mais qui sommes-nous

     

    Les simples témoins

    De Ta Face

    Inondés de Ta Gloire infiniment

    Traversés de Tes Splendeurs

     

     

     

     


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    Quand hurle la tempête

    Rayonne le Silence

    Limpidité

     

     

    Souffle

     


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    Bien-Aimé

    Dans le tumulte des voix du monde

    Seul le son de ta flûte

    Parvient à mon oreille 

     

    Pur délice

    Il enchante mon âme

      

    Toi dont le visage seul

    Ensoleille le monde

     

     

     


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    Ô Toi qui étais avant que ne fût le Silence

    Comme je T'aimais

    Comme je T'ai aimé  !

      

    Entends l'appel muet de mon Cœur

    Presse-le comme une éponge vidée

    Embrase-le comme un amas de brindilles sèches

    Et qu'il ne soit plus

    Que Flamme à Ta Beauté

    Hymne à Ton Nom 

     


    *   *   *
     

     Il est venu le Bien-Aimé

    À pas de loup dans la nuit

    Traversant les voiles de silences et d'étoiles

      

    Lui qui depuis toujours EST

    Devant ce que

    depuis toujours je suis

     

     

    Amour
    Image tirée du Tarot Zen d'Osho

     

     


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    Ô Toi qui rayonnes et palpites en silence

    Tout flamboie et respire par Toi

    L’œil qui regarde inondé de splendeur

    Et la pensée qui fuit dessinant des contours

    Et qui saute et folâtre allant de point en point

    Tout s'éploie en extase

     

    De la terre qui fume aux arbres transcendés

    Ta force et Ta présence

    Les mots sont sans objet fermés dans leur enclos

    Où tournent les idées comme des papillons

     

    Les cimes des sapins soudain se chargent d'or

    Elles offrent au ciel leurs pointes chamarrées

    Comme un cœur qui déborde en un chant si puissant 

    Qu'il pleure dans l'azur et ruisselle pour Toi

     

    Le Cygne des hauteurs

    Le Danseur du vertige

    Qui embaumes la Vie

     

     

    Cygne *

      

    *Note : le graphisme du mot "Allah" en Arabe, rencontré à plusieurs reprises en écoutant des textes de Rûmî, me rappelle le "Cygne" qui est symbole de la perfection pour le chercheur spirituel en Inde (Paramahamsa).

     


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