•  

     

    Promenons-nous...

    Promenons-nous...     Promenons-nous dans les bois...

     

    Promenons-nous...
    Pendant que le loup n'y est pas...      Promenons-nous...

     

    Promenons-nous...


    Sauve qui peut ! Le voilà !!....

     

    Promenons-nous...


    Bon, il n'a pas l'air trop méchant.

     

    Promenons-nous...

     

              Continuons donc notre balade en écoutant la jolie promenade en forêt que Camille Pépin a imaginée à partir d'un texte d'un poète anglais, Robert Frost : "The Road not taken" - la route que l'on n'a pas prise ; la rêverie d'un promeneur qui, après avoir bifurqué à un carrefour, se demande comment aurait été le chemin qu'il n'a pas emprunté.

     

     

     

     


    5 commentaires
  •  

     

            Ce qui fait la puissance des musiques de Serge Gainsbourg, c'est qu'en tant que musicien et pianiste il a su utiliser et mettre magnifiquement en valeur certaines œuvres de musiciens classiques, comme Brahms et ici, Chopin.

             Cette épitaphe prémonitoire est une reprise d'un des plus beaux préludes de Chopin, le 4e, qu'il devait beaucoup aimer, et que Jane interprète si bien.

            Que la lumière, qu'elle reflétait, la garde à jamais parmi les siens.

     

     

     

     

     


    5 commentaires
  •  

         Écoutons Jean-Sébastien Bach célébrer l'Ascension de Jésus ! (Il y a toute la cantate, mais écoutez surtout le premier chœur).

     

     

            Olivier Messiaen, immense compositeur mystique du XXe siècle, a célébré lui aussi l'Ascension en plusieurs méditations, écrites d'abord pour l'orgue puis transcrites pour orchestre : voici la 4e et dernière d'entre elles, qui évoque la montée progressive du Christ vers le ciel (j'ai choisi une version ancienne car la plus récente, que j'ai publiée sur facebook, me semble interprétée de façon exagérément lente).

     

     

     

     

     Bon jeudi à tous !

     

     


    8 commentaires
  •  

           Quand on parle de musique d'aujourd'hui, on pense toujours à la chanson, à ce qui passe à la télévision, qui est présenté à l'Eurovision, à des styles rock ou rap.

          Pourtant il y a encore des compositeurs de style classique de grande qualité, qui notamment se spécialisent en musique de film pour être sûrs d'en vivre (on songe au merveilleux Morricone récemment disparu, au cher Michel Legrand ou encore à l'excellent Maurice Jarre, père de Jean-Michel le magicien des lasers).

          Mais il y a aussi des "purs et durs" qui n'écoutent que leur cœur et leur inspiration, et qui comme celui qui se lance dans l'écriture en solitaire, ou dans une aventure picturale toute personnelle, s'adonnent à la création musicale dans un style résolument contemporain. Et dans ceux-ci, il y a des femmes. Et même, des femmes jeunes, très jeunes...   

            Parmi elles, Camille Pépin, que j'ai déjà présentée ici, et dont on peut consulter le site déjà conséquent ici ou la page Wikipédia . Une personne pour qui le mot "vocation" prend tout son sens car, née à Amiens dans une famille ne connaissant pas du tout la musique, c'est par son inscription à un cours de danse qu'elle a soudain affirmé à ses parents qu'elle voulait étudier la musique, puis par les cours reçus au Conservatoire de cette ville, qu'elle a peu à peu été découverte comme le nouveau prodige de la création musicale contemporaine.

           S'il fut un temps où la musique dite contemporaine était rébarbative, parce que trop orientée vers des recherches techniques stériles, aujourd'hui les compositeurs reviennent de plus en plus vers l'écoute de leur cœur et notamment, à l'instar d'un courant actuellement puissant de retour à la nature et d'ouverture à la méditation, présentent des œuvres plus lumineuses et contemplatives.

           Quel plaisir alors d'entendre sur le net l'enregistrement d'une pièce écrite seulement cette année !

           C'est ce que j'ai pu expérimenter ce soir à travers ce duo pour cor et piano de Camille Pépin, intitulé

    « Pluie, larmes de la Terre »

        et composé pour le Festival des Forêts.

     

              À la fin du morceau, vous voyez (malgré les images surimposées par youtube qui malheureusement en cachent une partie) la jeune compositrice monter sur l'estrade et embrasser affectueusement les interprètes manifestement sous le charme. 

     

     

     


    8 commentaires
  •  

     

            J'ai eu la surprise hier soir de me retrouver à dîner aux côtés d'un remarquable guitariste, Wim Brioen (prononcez "Brioun") et de son épouse : d'origine flamande, ceux-ci habitent notre région depuis douze ans et l'ont adoptée, vivant à la campagne avec un petit potager - sans toutefois oublier de passer plusieurs mois chaque année en Andalousie.

          Aussi modeste que possible, celui-ci n'a de façade que sur youtube, mais son talent mérite d'être connu. Il a enregistré deux disques.

           Je vous partage ce prélude de Villa-Lobos, qui est si beau et interprété avec tant de délicatesse et de sensibilité par ce monsieur - aujourd'hui beaucoup plus âgé.

     

     

     

     

     

     


    3 commentaires


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique